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Passionnement Sport

Passionnement Sport
  • Le sport. Un très grand mot pour les jeunes d’aujourd’hui, qualifiés par les anciennes générations de feignants, ou le célèbre « patate de canapé » que certains connaissent… Le sport est-il le propre de la jeunesse ?
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17 avril 2018

Conclusion

En somme, malgré un taux croissant de jeunes qui s’inscrivent dans un club de sport (taux qui diminue très significativement après 15 ans), force est de constater que nos jeunes ne se dépensent plus assez, certaines études le montrent. Et ceci, malgré l’existence de campagnes de prévention, sensibilisation et d’information pour une bonne hygiène de vie, tout est mis en place pour que les jeunes puissent s'épanouir dans l'univers du sport. A l’aide d’actions d’éducation, et de (re)valorisation du sport à l’école, les jeunes peuvent se dépenser malgré l’avancé des technologies (smartphones, tablettes) qui les font rester chez eux.

De vrais témoignages nous montrent que les dispositifs permettent la découverte, la sociabilisation, le développement de son mental, ainsi que la réussite de nos jeunes. En 10 ans, il y a malheureusement une dégradation importante des performances chez nos jeunes. Le sport est un très grand mot pour les jeunes d’aujourd’hui, qualifiés par les anciennes générations de feignants, ou le célèbre « patate de canapé » que certains connaissent… Aujourd’hui, les établissements scolaires, à partir du collège, proposent des séances de sport en dehors des heures de cours, les associations sportives. Elles sont proposées dans le but de faire découvrir l’univers du sport. Il y en a des différentes suivant les établissements.

Les jeunes ne sont donc pas si fainéants, contrairement à ce que disent les anciennes générations. A la question : le sport est-il le propre de la jeunesse, je répondrais que oui, peut être à des degrés nuancés, mais les jeunes font du sport, soit sans s'en rendre compte, soit dans des clubs ou associations sportives, malgré le détachement vers les 15-16 ans.

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16 avril 2018

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Le blog http://lepropresport.canalblog.com est un blog créé dans le cadre du Module Expression, Communication, Documentation du Lycée d’Aix-Valabre.

Éditeur

Responsable de la rédaction du blog : LAMOTTE Hugo.

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16 avril 2018

Sources

Wikipédia.fr

Site du Ministère des Sports sport.gouv.fr/ date : 2017

Site de l'OMS/ date : 2016

Diaporama présenté par l'étudiant Hugo LAMOTTE

Site de l'OIJS, avec témoignage d'Andréa DURANT

Nouvelle et interview par Hugo LAMOTTE

Science-en-conscience.fr/ date : 2014

Sofoot.com/date : 2015

INRP.fr

Site de l'UNSS et de l'USEP/données actualisées en 2016

cache.média.education.gouv.fr

Allociné.fr/date : 2005

soinsdenosenfants.cps.ca/date : 2012

étudier.com/date : 2013

11 avril 2018

L'OIJS : un plaisir de jeunes grandeur nature

Aucun texte alternatif disponible.

PRESENTATION

Depuis des années, l'Office Intercommunal de la Jeunesse et des Sports du Haut Verdon Val d'Allos  fait partie du paysage associatif de la vallée proposant du ski en hiver, des animations dans les écoles, des activités pendant les vacances ou le mercredi… Mais au fait, quel est le rôle de cette structure, quels sont ses objectifs et comment fonctionne-t-elle ?

Les associations sportives de la vallée se sont fédérées et ont créé l'Office Intercommunal de la Jeunesse et des Sports en 1998. Cette structure à but non lucratif a pour objectifs de développer et de promouvoir  les associations sportives du Haut Verdon Val d'Allos et de faciliter la pratique du sport aux habitants, notamment aux jeunes. Ses membres sont les clubs sportifs du territoire. Association indépendante, l'OIJS est financé par la Communauté de Communes du Haut Verdon Val d'Allos, le Conseil Général, le Conseil Régional, la Caf. N'oublions pas le soutien de partenaires privés qui nous font bénéficier de tarifs réduits lorsqu'ils accueillent les enfants et leur font faire du rafting, de l'escalade, du cheval ou du tir à l'arc…

Le travail de l'OIJS en quelques mots c'est : l'appui aux clubs qui organisent des évènements sportifs, la promotion et la communication, l'aide administrative, le rôle d'interface entre les associations et l’administration.

Et puis, depuis 2006, l'OIJS est devenu centre de loisirs. Il propose  aux enfants et aux jeunes de la vallée tout un panel d'activités sportives, culturelles, manuelles et de découverte. L'équipe s'étoffe en juillet août avec trois ou quatre animateurs supplémentaires.  

L'OIJS est aussi fortement impliqué dans la Grande Traversée des Mélèzes, trail qui a lieu tous les deux ans sur le territoire. De l'administratif à l'accueil des coureurs, de l'aide matérielle à la promotion, l'OIJS apporte son soutien à l'événement et à ceux qui le font vivre sans se substituer aux associations organisatrices.

CLUBS MEMBRES, INTERVIEW

L'OIJS regroupe plusieurs clubs dans la vallée du Haut Verdon et du Val d'Allos. Les clubs membres sont : Courir en Haut Verdon, Ski Club du Val d'Allos Haut Verdon, Verticale Attitude,Club cycliste, section vtt, OMSL Colmars : judo, gym, course à pied, Montagnes et Crinières, Le Verdon à cheval, Hockey club en Val d'Allos et Club de foot du Haut Verdon.

En m'intéressant à cet organisme, j'ai rencontré un jeune qui est adhérent à l'OIJS et qui fait parti du club d'escalade Verticale Attitude. Je me suis penché sur son ressenti et son expérience en tant que jeune à travers ce club :

"Avec l'OIJS, plusieurs activités sportives, culturelles et même dans l'art étaient mises à disposition pour nous les jeunes de la vallée du Haut Verdon. C'est vrai que quand tu viens d'une petite vallée où il n'y a pas grand chose pour nous, l'OIJS nous apportait ce qu'il nous fallait en terme de sport. J'ai pu découvrir des activités sportives à travers de stages, mer et montagne, donc ça diversifie vachement les activités. J'ai fait aussi le raid au Verdon, un raid de 5 jours à travers les villages, il fallait remonter la rivière. Y a même le mini raid au Verdon pour les plus petits, l'OIJS s'adapte en fonction de nos âges et par rapport à ce qu'on aime. Ca nous permet d'en parler au collège, y avait une bonne ambiance, les animateurs étaient jeunes. Ca nous permettait d'aimer encore plus de faire du sport, puis que demander de mieux lorsqu'on est en plein milieu de la nature. J'adore l'escalade, donc j'ai été servi par Verticale Attitude, et le nombre de possibilités qu'il y a dans la vallée, le nombre de voies. En plus chez nous il y a souvent du Soleil, donc c'est bénéfique pour nous qui aimons le sport de plein air. En gros, l'OIJS permet de nous dépenser en s'amusant, et chaque année, y a de plus en plus de jeunes. Ca fait 11 ans que je suis adhérent, j'ai donc commencé tôt, je peux donc dire avec mon expérience que ça m'a beaucoup apporté dans cet univers. Ca m'a permis de me sociabiliser, de m'orienter dans des choses que j'aime vraiment, de pouvoir découvrir des choses, de me construire en quelque sorte."

 

L'association a donc pour objectif de promouvoir et de développer les activités sportives sur le territoire, de faciliter leurs pratiques notamment aux plus jeunes. Elle fournit une aide matérielle et humaine aux clubs et associations qui la constituent. Elle se donne aussi pour mission de proposer des activités sportives, culturelles et de loisirs aux enfants de la vallée, âgés de 3 à 17 ans dans le cadre d'un accueil collectif de mineurs. Ces activités sont proposées tout au long de l’année durant les différentes vacances scolaires et occasionnellement les week-ends.

L'OIJS propose un projet pédagogique, composé de 8 objectifs :

1. Encourager les initiatives, les tentatives, les expériences et développer l'indépendance En laissant faire, en laissant jouer sur certains laps de temps afin de laisser les enfants expérimenter, découvrir… En accompagnant les initiatives afin de les concrétiser (mise en forme des idées des enfants)

2. Respecter les rythmes de l'enfant En étant attentifs au besoin de repos, aux temps calmes, aux temps d'activités libres En respectant la journée type prévue

3. Découvrir des activités sportives, apprendre à dépasser en douceur ses peurs et ses limites En permettant l’apprentissage de nouvelles techniques et de nouvelles activités dans des conditions de sécurité qui rassurent l'enfant En l'accompagnant pour comprendre ses blocages, ses peurs et l'aider à les surmonter (ou pas) à son rythme et en douceur

4. Comprendre et suivre les règles d'hygiène En les faisant appliquer (se laver les mains avant le repas, après être allé aux toilettes…) En demandant aux enfants d'en expliquer les raisons (et les conséquences si on ne les respecte pas)

5. Valoriser les différences et les spécificités de chacun En laissant chacun exprimer ce qu'il est (gestes, mots, attitudes, réactions…) En incitant les autres à respecter les particularités de chacun et en mettant en évidence que c'est la diversité qui fait la richesse d'un groupe

6. Sensibiliser les enfants accueillis au milieu naturel : montagnard, marin En regardant, touchant, écoutant… tout ce qui nous entoure En allant chaque année à la découverte du milieu marin très différent du milieu montagnard que nous connaissons

7. Valoriser les comportements citoyens, les expliquer Aborder la citoyenneté de temps en temps avec des exemples de tous les jours, l'expliquer Valoriser des comportements citoyens au sein de la micro société qu'est le groupe d'enfants

8. Développer la curiosité, l’envie de découvrir, encourager l'envie de comprendre, l'esprit critique En encourageant les enfants à s'interroger, se mettre à la place…, à chercher à comprendre En montrant qu'il y a de nombreux moyens de s'informer pour se forger sa propre opinion

 

11 avril 2018

Quartier et Obésité

Les enfants ont un plus petit tour de taille et un indice de masse corporelle (IMC) plus bas quand leur quartier comprend des aménagements qui facilitent les déplacements à pied. Cette observation vient d’une équipe de recherche montréalaise, menée par la professeure Tracie A. Barnett de l’INRS. Selon les résultats de l’étude publiée dans Preventive Medicine dont l’auteur principal est Adrian Ghenadenik et la professeure Barnett l’auteure sénior, le design urbain joue un rôle dans le développement de l’obésité chez les enfants. 
 

Cette étude suggère que les infrastructures conçues pour faciliter la marche peuvent contribuer à réduire l’obésité chez les enfants. Il semble que ce soit dans les zones à forte densité que ces aides aux piétons, comme les feux de passage pour piétons, les trottoirs plus larges et la signalisation facilitant la traverse des rues, ont des effets plus prononcés. Leur présence peut aussi favoriser le cyclisme, le jeu en plein air et d’autres types d’activités, autant de façons pour les enfants de dépenser leurs énergies. 
 
Un résultat inattendu en ressort aussi : dans leurs analyses, les auteurs ont trouvé que la présence de dépanneurs dans le quartier est associée à un l’IMC plus bas chez les enfants. Ces résultats illustrent l’importance de raffiner l’analyse, notamment en prenant en compte les types d’aliments vendus dans les restaurants-minute et les dépanneurs. Dans ce sens, une étude sur l’environnement alimentaire à Saskatoon publié en 20161 a montré que les enfants ayant accès à des aliments de qualité à des prix inférieurs, quel que soit le type d’épicerie située dans une zone de 800 m de leur résidence, avaient moins de risques de surpoids, ce qui pourrait être aussi le cas à Montréal.
 
L’équipe de recherche a analysé et comparé les données recueillies à deux ans d’intervalle auprès de jeunes montréalais ayant des antécédents parentaux d’obésité et résidant à la même adresse pendant la durée du suivi. 
 
D’autres analyses en cours documentent les transformations subies dans les quartiers résidentiels ces dix dernières années afin de mesurer à quel point celles-ci auraient pu avoir une influence sur le risque d’obésité.
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11 avril 2018

Le sport chez l'enfant : oui, mais pas trop !

Le sport est devenu un véritable phénomène de société chez l'enfant. Ils sont de plus en plus nombreux à le pratiquer et de plus en plus tôt, contrairement aux adolescents qui eux, en font de moins en moins. Si l'activité sportive est nécessaire et bénéfique à l'enfant, tant sur le plan physique que sur le plan psychologique, il est indispensable qu'elle soit contrôlée et bien encadrée. En effet, un surentraînement peut, à terme, être préjudiciable pour l'organisme, avec notamment des perturbations de la croissance.

Chez le jeune enfant, l'activité physique et sportive concourt à l'acquisition de l'autonomie et à l'affirmation du schéma corporel. Elle améliore la coordination temporo-spatiale. Le sport contribue également à l'épanouissement de l'enfant, lui permet d'évacuer les tensions quotidiennes et de mieux se concentrer à l'école. Chez un enfant timide, l'activité physique peut l'aider à davantage s'extérioriser et, à l'inverse, chez un enfant énervé ou stressé de se calmer et de se détendre. De même, un enfant agressif qui pratique un sport va apprendre à mieux se maîtriser.

Quel que soit l'âge de l'enfant, le sport encourage l'esprit d'équipe, lui apprend à respecter des règles et aussi ses adversaires. L'adolescent pourra développer son sentiment d'appartenance à un groupe et cela peut l'aider dans la quête de son identité.

L'enfant ne retirera de bénéfices que si le sport pratiqué correspond bien à ses possibilités physiques d'une part et à ses envies d'autre part. Il est en effet très important de laisser l'enfant choisir le sport qu'il souhaite pratiquer. Sachez qu'il n'existe pas un sport meilleur que l'autre et qu'imposer un sport à un enfant risque de conduire à un échec ou à un abandon. Généralement, on considère que la pratique du sport débute réellement vers l'âge de 7 ans (même si une activité physique peut évidemment être pratiquée avant, comme en témoigne la vogue des bébés nageurs et des « baby sports »). A 7 ans, le schéma corporel est bien en place et l'enfant a bien intégré l'équilibre, la coordination, le contrôle du geste ou encore les notions de force et de vitesse. A partir de là, l'enfant peut pratiquer un sport au stade d'initiation. Puis entre 8 et 12 ans, vient la phase de perfectionnement, et éventuellement la compétition. Dans cette tranche d'âge, le tonus musculaire se développe, mais le risque physique apparaît également.

L'organisme de l'enfant évolue de façon permanente, notamment au niveau de la stature, du poids, des os et des cartilages. Ces modifications, qui rendent l'enfant vulnérable, nécessitent une surveillance de l'enfant s'adonnant à une activité sportive, surtout s'il y consacre plusieurs heures par semaine. En dehors de l'accident imprévisible, un entraînement sportif trop intense ou mal équilibré entraîne une souffrance de l'organisme. Souvent, le premier signal d'alarme est une douleur persistante. Dans d'autres cas, il peut s'agir d'une fatigue anormale, de problèmes de sommeil, d'un manque d'appétit ou de résultats scolaires en baisse. A plus long terme, une pratique sportive trop importante ou mal adaptée peut entraîner des lésions des cartilages de croissance, qui peuvent se fissurer ou même se fracturer. Ces lésions risquent alors de compromettre la croissance de la zone atteinte. Avant d'en arriver à ce stade, il est donc très important d'apprendre à l'enfant à reconnaître et à exprimer sa douleur, de façon à pouvoir diminuer la sollicitation de la partie du corps en cause et à adapter le rythme d'entraînement.

11 avril 2018

Il faut un temps pour tout!

L’activité physique quotidienne peut englober le jeu libre, les jeux, les sports, les moyens de transport actifs (marche, vélo), les loisirs et l’éducation physique.

  • Les activités d’intensité élevée font transpirer les enfants et leur donnent l’impression d’être « à bout de souffle », c’est‑à‑dire qu’ils ne peuvent prononcer que quelques mots entre chaque respiration. Courir et nager rapidement ou longtemps sont des exemples de ce type d’activité.
  • Les activités d’intensité modérée font aussi transpirer et essoufflent un peu les enfants, mais ils peuvent toujours parler en bougeant, par exemple, lorsqu’ils marchent rapidement ou font du vélo.
  • Les activités qui renforcent les muscles et les os comprennent entre autres le saut à la corde, la course et des sports comme le tennis et le basketball.
  Combien de temps par jour? Suggestions d’activités
Nourrissons(de 0 à 12 mois) Doivent être physiquement actifs plusieurs fois par jour. Le jeu actif starts commence dès la naissance, surtout par des jeux au sol, y compris du temps passé sur le ventre, à atteindre, à pousser, à tirer et à ramper.
Tout-petits(de 1 à 2 ans) et enfants d’âge préscolaire(de 3 à 5 ans) 180 minutes d’activité physique pendant la journée (activité physique planifiée et organisée ou non structurée, ou jeux libres). Ils doivent passer progressivement à au moins 60 minutes de jeu énergique (activité physique d’intensité modérée vigoureuse) à 5 ans. Les activités doivent être amusantes et encourager votre tout-petit à explorer et essayer de nouvelles choses.
  • Les enfants de cet âge ne comprennent pas les règles et ne sont souvent pas assez coordonnés pour participer à des sports organisés.
  • Autres idées : marcher ou courir, jouer à chat (tag), nager (à compter de 4 ans), faire des culbutes, danser, lancer et attraper.
  • Lorsqu’ils grandissent, ils peuvent essayer de sauter à la corde et de faire du vélo.
Enfants (6 à 9 ans) Au moins 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée chaque jour, dont :
  • des activités d’*intensité élevée* au moins 3 jours par semaine;
  • des activités qui renforcent les muscles et les os au moins 3 jours par semaine.
Les sports choisis doivent présenter les caractéristiques suivantes : instructions brèves, règles flexibles, temps libre d’entraînement pour les enfants et accent mis sur le plaisir.
  • Autres suggestions : jouer à la tague, se rendre à l’école à pied, jouer au soccer ou au baseball, faire de la gymnastique, patiner et skier.
Enfants (10 à 12 ans) Au moins 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée chaque jour, dont :
  • des activités d’*intensité élevée* au moins 3 jours par semaine;
  • des activités qui renforcent les muscles et les os au moins 3 jours par semaine.
Les enfants n’atteignent pas tous la puberté au même âge. La taille, ainsi que la force et la maturité physiques varient donc considérablement.
  • En général, les enfants de cet âge sont prêts à pratiquer des sports d’équipe axés sur l’acquisition d’habiletés, la participation égale et le plaisir.
  • Les enfants peuvent commencer un entraînement musculaire supervisé avec des poids légers.
  • Autres suggestions : arts martiaux, randonnée pédestre, extensions des bras (genoux au sol), redressements assis.
Adolescents(13 à 17 ans) Au moins 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à élevée chaque jour, dont :
  • des activités d’*intensité élevée* au moins 3 jours par semaine;
  • des activités qui renforcent les muscles et les os au moins 3 jours par semaine.

Les activités doivent être amusantes et se pratiquer avec des amis.

Les adolescents sont prêts à s’adonner à des activités axées sur :

  • leur condition physique (cours de conditionnement physique après l’école);
  • les moyens de transport actifs (marche, vélo);
  • les travaux ménagers;
  • les sports, qu’ils soient de compétition ou non (match de basketball improvisé).
    Autres suggestions : canoë-kayak, randonnée pédestre, patin à roues alignées, travaux d’entretien extérieurs et jeux où il faut lancer et attraper un ballon ou une balle.

Comment les familles peuvent‑elles encourager une vie active saine?

  • Limitez le temps que vos enfants et adolescents passent à regarder la télévision, à jouer à des jeux vidéo et à naviguer sur Internet : ils ne doivent pas consacrer plus d’une à deux heures par jour à ces activités. La Société canadienne de pédiatrie décourage les activités devant un écran (télévision, jeux vidéo, appareils portatifs, etc.) pour les enfants de moins de 2 ans.
  • La pratique d’un sport organisé (comme faire partie d’une équipe de soccer ou de hockey) ne suffit pas à garder les enfants et adolescents en santé. Encouragez vos enfants ou vos adolescents à être actifs chaque jour. Ils peuvent aller chez des amis à pied ou à vélo, sauter à la corde ou aller jouer au parc ou au terrain de jeu du quartier.
  • Si vous emmenez vos enfants à l’école en voiture, essayez plutôt d’y aller à pied, ou organisez un club de marche avec vos voisins.
  • Encouragez vos enfants à utiliser les escaliers plutôt que l’escalier roulant ou l’ascenseur.
  • Faites participer vos enfants à des travaux ménagers comme transporter les sacs d’épicerie, ratisser les feuilles ou pelleter la neige.
  • Assurez-vous que les activités sont sécuritaires. Les enfants et adolescents doivent porter de l’équipement protecteur lorsqu’ils pratiquent des activités comme le vélo, le patin, la planche à roulettes, le soccer et d’autres activités physiques.
11 avril 2018

L'intérêt des jeunes à l'activité sportive

En France, les jeunes sont-ils toujours autant intéressés par la pratique du sport aujourd'hui? Malheureusement non. En effet, en seulement 10 ans, on a remarqué qu'il y a eu une dégradation importante des performances chez nos jeunes.

Pour que les enfants et les adolescents grandissent en santé, il est important qu’ils soient actifs physiquement et qu’ils mangent des aliments sains chaque jour.

Les enfants doivent adopter un mode de vie sain dès leur plus jeune âge pour prendre de bonnes habitudes qu’ils conserveront toute leur vie. L’activité physique est bénéfique à tout âge et aide les enfants à :

  • fortifier leur cœur et leurs poumons pour les maintenir en santé;
  • devenir plus flexibles;
  • former des os forts;
  • conserver un poids santé;
  • réduire leur risque de souffrir de plusieurs maladies et problèmes de santé;
  • améliorer leur humeur et leur estime de soi;
  • obtenir de meilleurs résultats à l’école;
  • avoir une image plus positive de leur corps.

On adopte un « comportement sédentaire » quand on est très peu actif physiquement, comme en étant assis devant l’ordinateur, en jouant à des jeux vidéo ou en regardant la télévision. Les enfants et les adolescents devraient accorder moins de temps à ces activités et plus de temps à l’activité physique. En effet, les jeunes deviennent de plus en plus sédentaires et la pratique d’un sport ne fait plus partie de leurs priorités et de leurs intérêts principaux. 

D'après une étude belge récente et les chiffres des adhérents des différents clubs ou associations sportives, les jeunes agés de 10 à 15 ans ont une attirance plus importante vers le sport, et leur goût du sport est bien présent. En revanche, vers 15-16 ans, les jeunes vont s’en détacher petit à petit et de plus en plus, ce qui est en total contradiction car c'est l'âge des plus jeunes adhérents de clubs en général. Malgré un taux croissant de jeunes qui s’inscrivent dans un club de sport (taux qui diminue très significativement après 15 ans), force est de constater que nos jeunes ne se dépensent plus assez,. Et ceci, malgré l’existence de campagnes de prévention, sensibilisation et d’information pour une bonne hygiène de vie. A l’aide d’actions d’éducation, et de (re)valorisation du sport à l’école, les jeunes peuvent se dépenser malgré l’avancé des technologies (smartphones, tablettes) qui les font rester chez eux.

Le ministère du sport a détermnié la fréquence de la pratique physique et sportive au cours de l'année chez les individus de 15 ans. 31% des jeunes de 15 ans ne font pas assez de sport. Ce chiffre alarmant inquiètent les professionnels. Tout le monde (médecins, éducateurs sportifs, psychologues...) semble d'accord sur le fait que l'activité physique et sportive constitue indéniablement un facteur de développement pour les jeunes. 

 

11 avril 2018

Zidane, un portrait du XXIème siècle

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Sorti en 2006, réalisé par Philippe Parreno et Douglas Gordon, et d’une durée de 94 minutes, ce film documentaire se déroule durant un match opposant le Villareal et le Real Madrid le 23 avril 2005, au stade du Real Madrid. La durée du film a été écourtée du fait de son expulsion à la fin de ce match.

Les réalisateurs Philippe Parrero et Douglas Gordon, ont eu avant ce film une filmographie. En effet, ils ont tourné d’autres films comme Je m’appelle HmmmLe Pont du Trieur ou encore Rebel. Le film est projeté en Sélection officielle hors compétition au 59e Festival de Cannes. Les réalisateurs de Zidane, un portrait du XXIème siècle sont deux artistes contemporains réputés internationalement. Le français Philippe Parreno a récemment fait l'objet d'une retrospective au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris et prépare actuellement une prochaine exposition au célèbre musée Guggenheim de New York. Quant à l'artiste écossais Douglas Gordon, il exposé dans de nombreuses galeries prestigieuses allant de la Tate de Londres au Musée d'Art Moderne de New York.

Dans ce documentaire présenté hors compétition, le projet des plasticiens Philippe Parreno et Douglas Gordon est de fixer les yeux sur un homme plutôt que sur le ballon.

Zidane, un portrait du XXIème siècle a été tourné au stade Santiago Bernabeu durant un match de championnat de la Liga espagnole. Ce jour-là, les Madrilènes l'ont emporté 2 buts à 1. Zinedine Zidane n'a toutefois pas trouvé le chemin des filets laissant ses co-équipiers Ronaldo et Michel Salgado marquer les deux buts victorieux. Un portrait spectaculaire, magique, en temps réel et en action de Zinédine Zidane donnant au spectateur le sentiment d'être placé sur le terrain aux côtés du joueur. Ce film colle aux crampons de la star du ballon rond durant l'intégralité de la rencontre, grâce à dix-sept caméras haute-définition capturant ses moindres faits et gestes.

Dix-sept caméras synchronisées, mêlant le 35mm à la haute définition, ont été braquées sur Zinedine Zidane lors du match de championnat du Real Madrid contre Villarreal. Sur un angle de 360 degrés et dans une ambiance sonore restituant l'environnement de la foule, le spectateur suit en temps réel les moindres faits et gestes du champion français, comme s'il se trouvait à ses côtés. Qu'il n'ait pas le ballon, qu'il effectue un beau geste technique ou adresse une passe décisive à Ronaldo, les caméras suivent l'évolution de Zidane sur le terrain et plongent au coeur des sensations d'un footballeur de haut niveau en pleine action...

Les caméras sont braquées sur Zinédine Zidane. Voit-on mieux le match ? Non, beaucoup moins bien. Mais le projet des plasticiens Philippe Parreno et Douglas Gordon est de fixer les yeux sur un homme plutôt que sur le ballon. De la superstar du football français, on ne peut donc apprécier les intuitions, le génie tactique, la clairvoyance du jeu puisque ce qui l'entoure, par conséquent les options qui s'offrent à lui, reste hors champ. Même si les caméras traquent la subjectivité du joueur, les gros plans sont si rapprochés que nous ne voyons pas le match de son point de vue, juste ce qui l'entoure, dans un halo. Nous sommes invités à imaginer ses sensations, son imaginaire.

Documentaire sur les gestes (discontinus), le visage (impénétrable, hormis quelques dodelinements de tête contre l'arbitre et un échange de sourires avec Roberto Carlos), les foulées, les jambes, les pieds, les chocs physiques, la technique, la concentration d'un animal aux aguets, prêt à bondir comme un fauve, Zidane est parfois sous-titré de commentaires du modèle, et accompagné d'une bande sonore omniprésente, bruits du stade avec poussées de bruits de foule, partition rock du groupe Mogwai.

L'intention des auteurs est de proposer un portrait en mouvement, quelque chose qui ressemble autant à une oeuvre d'art contemporain qu'à l'examen d'une bête de spectacle au microscope, pour fans de foot. Jules-Etienne Marey avait déjà décomposé un mouvement sportif au temps de la préhistoire du cinéma, et Télé-Foot nous a déjà montré des clips sur des dribbleurs au ralenti. A la fin du film, on n'en sait pas beaucoup plus sur Zidane, et on n'est pas certain d'avoir vu de la peinture. Plutôt un document sur l'impuissance, la course vaine, le travail ingrat. Une variation sur le blow up : plus on agrandit, plus on sonde la matière, plus le secret s'échappe.

Qui na pas rêvé de fouler la pelouse dans la peau de Zizou, le plus illustre joueur de football de la planète? De se glisser sous le célèbre maillot numéro 5 du Real Madrid? Les artistes contemporains, Douglas Gordon et Philippe Pareno, voulaient créer avec ce film un nouveau langage, une nouvelle manière de filmer le sport en braquant 17 caméras sur le meneur de jeu du Real Madrid. L'ambition était belle: se rapprocher de ce que peut vivre un athlète de haut niveau, comment ce dernier en une touche de balle, en une course, en un regard peut changer la face d'une rencontre. Pari fascinant sur le papier, le résultat s'avère finalement assez vain, comme si les deux réalisateurs, en différenciant enjeu esthétique et enjeu sportif avaient annihilé la dimension dramatique du football, le résumant à un obscur ballet désordonné. Et ennuyeux surtout, ce qui est plus dérangeant. Loin de l'ivresse que l'on peut vivre lors dun grand match de football, le film témoigne surtout de l'incapacité du cinéma à retranscrire un sport collectif, en se contentant d'enregistrer les efforts d'un héros donné. Malgré d'indéniables qualités formelles et l'utilisation parfois judicieuse de la musique du groupe Mogwaï, Zidane, un portrait du XXIè siècle est un essai non transformé.

8 avril 2018

L'UNSS : Union nationale du sport scolaire

L'UNSS, association déclarée conformément à la loi du 1er juillet 1901, est une fédération sportive placée sous la tutelle du Ministre de l'Éducation Nationale. Le Ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports participe également à la définition ainsi qu'à la mise en œuvre de ses objectifs. Elle est membre du Comité National Olympique et Sportif Français.
Elle a pour objet d'organiser et de développer la pratique d'activités sportives ainsi que l'apprentissage de la vie associative par les élèves qui ont adhéré à l'association sportive des établissements du second degré. Elle permet de pratiquer plus de 60 activités sportives et d'accéder à des fonctions de responsabilité.
L'encadrement est assuré par plus de 30 000 professeurs d'Éducation Physique et Sportive dans le cadre d'un forfait horaire de trois heures hebdomadaires sur toute l'année, au seul bénéfice des élèves inscrits à l'AS et donc licenciés à l'UNSS. Le public est composé de l'ensemble des jeunes collégiens et lycéens (de 11 à 20 ans) qui souhaitent s'adonner à une pratique sportive au sein de l'Association Sportive de leur établissement. Cette participation suppose de leur part un acte volontaire d'adhésion.
Les compétitions se situent à différents niveaux : district, départemental, régional et national. Au plan national on dénombre 90 championnats de France UNSS ou grands événements.

 
Le projet national incite les associations sportives à développer la vie associative, fermant de l'éducation citoyenne. Que cela passe par la formation des jeunes officiels, jeunes reporters ou organisateurs, ou par la participation des élèves aux assemblées générales ou aux comités directeurs, les animateurs d'as disposent de nombreux outils devant leur permettre, à travers la pratique sportive et la vie associative, de remplir cette mission.
Les Programmes sportifs : 2008-2012
Conformément au projet national, il est nécessaire de conserver aux programmes sportifs leur caractère national au regard de l'identité de l'UNSS et notamment en privilégiant la représentation par équipe d'établissement. Pour mieux répondre à la diversité des attentes et des demandes, l'UNSS a décidé d'inscrire les actions des as sur les trois pôles : développement, compétition et responsabilisation.
En ce qui concerne le Pôle Responsabilisation, il s'agit du Programme Jeunes Officiels à déclinaison multiple. S'agissant du Pôle Développement, il s'agit de redonner un sens aux actions de découverte, d'initiation ou promotionnelles. Quant au Pôle Compétition, l'UNSS rappelle son attachement au concept d'équipe, base d'engagement des as, aux activités dans le cadre de rencontres organisées du niveau local au niveau national voire international.
Un exemple : le programme Jeunes officiels

Ce programme, riche d'avenir et porteur pour l'UNSS, valorise une véritable politique de formation, les jeunes étant véritablement les acteurs de leur devenir. Aujourd'hui, des rencontres de districts aux Championnats de France et Coupes Nationales UNSS, l'arbitrage et le jugement de ces compétitions sont exclusivement effectués par des jeunes élèves licenciés UNSS et titulaires de leur carte « Jeunes Officiels ».
Ce programme est étendu aux jeunes dirigeants, jeunes organisateurs, jeunes reporters, etc...

8 avril 2018

L'USEP : l'union sportive de l'enseignement du premier degré

C'est une fédération sportive scolaire regroupant 800 000 adhérents chargée d'une mission de service public et à l'appui de la convention qu'elle a signée avec le ministère de l'éducation nationale, l'USEP inscrit son action :
  • en temps scolaire et hors temps scolaire,
  • dans le cadre de rencontres sportives scolaires,
  • dans une dimension éducative et sociale

Elle a pour ambition de former des pratiquants sportifs capables de participer à la vie de la cité par la pratique sportive, par la participation effective des enfants à la vie statutaire de l'association sportive scolaire.
Dans son action quotidienne, l'USEP insiste sur :

  • La responsabilité de l'enfant et son accession à l'autonomie en l'amenant à organiser et diriger son activité ou celle des autres,
  • L'appropriation par l'enfant des principes démocratiques et des valeurs de solidarité et de respect (respect de règles, des autres, des engagements),
  • L'ouverture de l'association d'école vers la famille et l'environnement social : organisation des manifestations locales, en temps scolaire (plus de 1 500 demi-journées de rencontres) et hors temps scolaire (600 demi-journées de rencontres),
  • L'éveil et l'épanouissement de l'enfant, qui à travers les multiples activités pratiques dans tous les domaines, est acteur de son apprentissage,
Convention entre le Ministère de l'Éducation nationale et l'USEP : extraits
Article 1
La mission de service public, confiée à l'USEP par le ministère portera sur :
  • la construction d'une véritable culture sportive par l'organisation de rencontres adaptées à l'âge des enfants ;
  • la contribution à l'engagement civique et social des enfants par leur responsabilisation progressive dans le fonctionnement de l'association d'école.

Pour mener à bien ces objectifs, le ministère favorisera et accompagnera la création des associations USEP dans toutes les écoles publiques primaires, conformément à la loi du 16 juillet 1984 modifiée (article 1).
Enfin, au regard de la place et du rôle spécifique occupés par le sport scolaire dans l'enseignement du premier degré, la traduction locale de cette convention, déclinée par chaque inspection académique et chaque comité départemental USEP, sera effectuée avec le soutien des équipes de circonscription de l'éducation nationale.

Article 2
L'USEP s'engage à développer toutes les actions visant à accompagner, enrichir et diversifier les enseignements scolaires, en particulier
  • en développant des pratiques associatives et des projets pédagogiques associant divers enseignements ;
  • en organisant, avec la participation active des enfants, les rencontres sportives relevant de l'enseignement public du premier degré ;
  • en élaborant des documents pédagogiques afin d'aider les enseignants à mettre en œuvre les activités et pratiques indiquées ci-dessus ;
  • en mettant en place des activités cohérentes avec les enseignements, pendant les temps scolaire, périscolaire et extrascolaire.

8 avril 2018

Dans le domaine du scolaire

Aujourd’hui, les établissements scolaires, à partir du collège, proposent des séances de sport en dehors des heures de cours, les associations sportives. Elles sont proposées par l'établissement durant les heures de récréations, ou le soir à la sortie des cours,dans le but de faire découvrir aux jeunes l’univers du sport. Il y en a des différentes suivant l’établissement. 

Mais à quoi ça sert concrètement ?

Cela permet de rencontrer d’autres personnes, que ce soit à l’intérieur du lycée, se sociabiliser à l'intérieur de l'établissement, mais aussi à l’extérieur, lors de rencontres, pouvoir échanger, de sport ou non, avoir différents points de vue, découvrir certaines choses. De plus, les associations sportives sont accessibles au plus grand nombre, avec un tarif d’adhésion assez bas pour l’année. Par exemple, la cité scolaire Charles de Gaulle à Apt (Vaucluse), propose un tarif de 25€ pour l'année scolaire. Les horaires sont de 13h à 14h au collège, et de 17h à 19h au lycée. Ce tarif d’adhésion permet de financer les déplacements pour les rencontres, ainsi que de fournir de l’argent pour l’établissement pour organiser les rencontres et entretenir le matériel.

Malgré la mise en œuvre de ce dispositif, permettant aux jeunes de se dépenser, y a-t-il un réel impact sur ces derniers ?

La RSEQ (Réseau du sport étudiant du Québec) on fait une enquête sur la pratique sportive en milieu scolaire pour savoir quel sont les plus grands bénéfices d’avoir du sport dans leur école. Selon leur enquête , le sport dans les écoles amène un sentiment d’appartenance, de fierté et la motivation de rester à l’école , prévient le décrochage scolaire et maintient l’intérêt pour l’école , développe des valeurs et des aptitudes de vie , augmente l’estime de soi , ça favorise la santé et l’autonomie  et ça encourage la persévérance scolaire et motive à mieux performer à l’école .

Le sentiment d’un élève qui bénéficie de l’opportunité privilégiée du sport étudiant peuvent servire pour améliorer son image, son estime de soi et sa confiance en soi et pour augmenter son sentiment de compétence en étant bon dans quelque chose qu’il apprécie et voire que ça le passionne.

Selon la commission scolaire de montréal et la RSEQ les adolescents membres d’équipes sportives risquent moins que les autre adolescents de fumer la cigarette, de consommer des drogues  ou de présenter des idées suicidaires ce qui amène aussi à moins de comportements de délinquance. Donc, il favorise  l’éducation, la réussite scolaire et la santé des jeunes.

En résumé, d’abord et avant tout, l’éducation des élèves-athlètes et majoritairement mieux établie et mieux ajusté.Le sport dans le milieu scolaire est donc un prétexte pour amener l’élève à réussir tant qu’au niveau académique qu’au niveau de sa santé et même dans sa vie sociale.

8 avril 2018

L'influence des sportifs de haut niveau

Le sujet est d’actualité, tant les apôtres de la grande religion du ballon rond semblent se démener pour remplacer le clergé plus traditionnel dans la culotte de nos enfants: mais quel exemple pour la jeunesse? Certes, que  l’influence sur la morale publique décline n’est pas forcément une mauvaise chose, encore faut-il que les nouveaux héros soient irréprochables. On peut aussi douter que des gens sélectionnés pour leur motricité débordante de talent soient également les plus qualifiés dans d’autres modèles ( qui se souvient de Pierre Desproges demandant déjà « vous avez déjà entendu penser un footballeur »?).

La bonne nouvelle, c’est que le sportifs ne semblent pas être si appréciés que ça en tant que modèle, comportemental du moins. Une équipe de l’université de Manchester, ville célèbre pour abriter les diables rouges (pour rester dans le champ lexical de la religion), vient en effet de rendre compte de ses recherches sur l’influence que pouvaient avoir les sportifs célèbres sur la consommation d’alcool des jeunes, dans la publication Drug and Alcohol Review.

Pour quantifier cette influence, les chercheurs ont demandé à environ 1000 personnes de quantifier la consommation d’alcool des plusieurs stars du sport, ainsi que leur consommation et celle de leurs amis, en distinguant les gens intéressés par le sport et les autres. le premier résultat est que tous les participants pensent que les sportifs de haut niveau boivent moins qu’eux-mêmes, et beaucoup moins que leurs amis. De plus, comme montré par de nombreuses études (dont une évoquée précédemment), un lien fort existe entre la consommation de l’entourage et la consommation personnelle.

En revanche, la consommation perçue des stars du sport n’a pas de valeur prédictive: la perception de la quantité d’alcool qu’ingurgitent les dieux du stade n’a pas de conséquence sur la consommation de l’individu. Chez les non-afficionados, la tendance est même inversée: plus ils pensent que les stars boivent, moins ils boivent eux-mêmes. On retrouve en revanche, chez les sportifs, l’influence de cultures spécifiques à certains sports, comme la pratique de la troisième mi-temps.

Certains jeunes veulent faire comme leurs idoles sportives, les recopier. Cela peut être positif. Par exemple, s’initier au sport du sportif qu’on apprécie. Faire du football pour ressemble à Lionel MESSI, ou encore du tennis pour être le futur Novak DJOKOVIC. Malheureusement, vouloir ressembler à son sportif favori. En effet, un jeune peut être facilement influencé par les publicités avec les sportifs, sur des produits plus ou moins bon pour la santé comme du gel douche ou des boissons énergisante, qui ne sont pas des produits idéales pour la santé des jeunes.

Une étude belge montre une augmentation de la malnutrition chez les adolescents, car ils vont de plus en plus au fast food, car voir leurs idoles dans ce genre de publicité les influencent. De plus, la présence de certains athlètes sur les réseaux sociaux, ou directement sur leur propre site internet, les rendent plus accessibles, et soumettent donc aux jeunes des comportements qui ne sont pas toujours exemplaires (exemple du pilote qui, en conduisant, a pris et diffusé sa photo sur internet).

Les articles suivant montrent des comportements de sportifs de haut niveau, l'un exemplaire, et l'autre non :

Pour conclure, voici l'exemple de Sacha Vaillancourt, directeur clientèle, qui parle de son petit garçon au sujet de l'influence des sportifs de haut niveau sur son fils.

"Suite aux Jeux olympiques d’été ayant eu lieu à Londres en 2012, mon fils, alors âgé de 5 ans, a commencé à s’intéresser au plongeon. La présence d’Alexandre Despatie aux jeux, combinée à sa grande popularité dans les médias, a certainement influencé l’attrait de mon fils envers ce sport. Cet exemple d’influence d’un athlète sur la jeunesse en est un parmi tant d’autres. Dans ce cas-ci, nous pouvons certainement parler d’une influence positive, puisque mon fils a décidé de commencer à pratiquer ce sport. Cette année olympique à Sotchi nous a permis d'être témoins d’exploits et de performances extraordinaires de la part des athlètes canadiens. Ceux-ci auront comme conséquence d’influencer positivement la jeunesse. Cependant, mon garçon, qui continue d’aimer le plongeon, me demande chaque semaine, après son cours de plongeon, si nous pouvons arrêter dans son restaurant de service rapide favori. Comme personne n’est parfait (heureusement!), nous nous y arrêtons à l’occasion."

8 avril 2018

Un sportif qui en dit long : Christian Dacunha

Dans le domaine du sport, il n'y a pas forcément, les plus jeunes, les plus endurants, ou les plus compétents qui sont les meilleurs. Christian Dacunha est un professeur de sport, au lycée agricole d'Aix-Valabre, et c'est aussi mon prof de sport. J'ai donc pu l'interviewer pour en savoir plus :

Monsieur, à quelle âge avez-vous commencé à faire du sport ?

-Si je me souviens bien, c'était à 7-8 ans, j'ai commencé à faire du foot en Lorraine, j'étais très bon, avec mon équipe on a gagné le tournoi de la région 3 ans après.

Quel a été l'élément déclencheur de votre passion du sport ?

-Justement, c'est ce tournoi, qui m'avait mis en condition dans l'univers du foot et de la compétition. Et vu qu'on avait gagné, bah j'ai décidé de continuer pour essayer de gagner d'autres tournoi, et c'est ce qui s'est passé.

Vous avez fait que du foot quand vous étiez jeune ?

-Non, à côté je faisais aussi du badminton, c'est vraiment les deux seuls sports que j'ai fait, et ça n'a pourtant rien à voir (rires). Et pourtant j'ai continué pendant longtemps de faire les deux. Puis après quand j'ai fait mes études pour être professeur de sport, j'ai du arréter le foot.

C'est une envie depuis le début de faire prof de sport ?

- A la base je voulais devenir footballeur professionnel, mais le niveau était trop haut, même si je pense que je pouvais l'avoir, ça prenait trop de temps dans ma journée, et j'avais ma copine à l'époque qui est aujourd'hui ma femme, et elle n'avait pas envie que je la laisse trop seule. Et aujourd'hui heureusement que j'y suis pas resté parce que sinon je n'aurais jamais fondé une famille avec elle.

 

Vous faites du sport en compétition ?

J'en faisais oui. Bah déjà le foot quand j'étais petit, puis après le badiminton entre mes 15 et 25 ans, en solo ou équipe, on a fini plusieurs fois champion de Lorraine, mais jamais au delà, et quand je suis devenu prof de sport et que j'ai été muté sur Gardanne, 7 ans après on a fini champion national de notre catégorie.

Vous pensez que les jeunes ne font pas assez de sport ?

C'est pas qu'ils ne font pas assez de sport. Pour moi, ils font du sport, mais d'une autre manière. Même si ils en font moins qu'à mon époque, y a des jeunes qui en font. Déjà, aller à la salle c'est faire du sport.

Qu'avez vous à dire aux jeunes qui veulent devenir sportifs de haut niveau ?

Il faut croire en ses rêves. Avec de la volonté tout est réalisable, dans la limite du possible bien sûr.

J'ai écrit une histoire sur vous, inventé bien sur, mais inspiré par rapport aux sports que vous avez pratiqué, et sur ce que vous m'avez dit. Je vous la fait lire, et vous devez me raconter la fin, ça vous intéresse ?

Ouais carrément!

Voici une éxo-fiction sur Christian Dacunha, histoire qui n'est pas réel, même si il y a quelques références par rapport à sa vie, en aucun cas c'est tiré de la réalité.

Exofiction sur Christian Dacunha

Nous étions à Valabre, à coté de Gardanne. Nous étions dimanche. Il faisait 16°C. Christian faisait son footing matinal dans la forêt, afin de se préparer à sa compétition de badminton qui avait lieu le mercredi suivant. Christian Dacunha était un professeur de sport, très apprécié des élèves, et n’hésitait pas à leur donner des conseils pour pouvoir progresser. Quand il jouait au badminton avec eux, c’était trop facile pour lui, car les élèves n’étaient pas assez réactifs aux volants qu’il envoyait là où ils n’étaient pas sur le terrain. Christian jouait très bien aussi au football, car il avait intégré lors de sa jeunesse l’équipe professionnelle de Nancy, nommée tout simplement, AS Nancy, car il était originaire de Meurthe-et-Moselle. Il était fier de sa région, et ne comprenait pas cette sorte de « rivalité » entre sa région et la région voisine, l’Alsace, à cause de vieilles querelles et traditions un peu différentes. Il adorait passer du temps avec sa famille à se promener. Il est descendu dans le sud à cause de sa mutation, passant de Nancy à Gardanne, et a dû malheureusement arrêter le foot. Heureusement, il a pu continuer le badminton en compétition. Il était classé R4, ce qui est un excellent niveau. Le jour de la compétition arrivait, il était près à être classé niveau national.

Pour s’entrainer, il pouvait compter sur son ami Frédéric, qui lui aussi a un très bon niveau de badminton, mais ce dernier n’est pas classé et préfère y jouer pour le plaisir et faire sa séance de sport hebdomadaire avec son ami. Tous les deux sont inséparables, ils font quasiment tout ensemble, même leur métier en quelque sorte, car Frédéric est le proviseur de l’établissement dans lequel Christian enseigne, c’est-à-dire Valabre. C’est un lycée assez mal organisé, et Christian le sait bien, puisque pour sa dernière sortie ils n’ont pas pu y aller car ça a été annulé au dernier moment. Une semaine plus tard, c’était le début de la compétition, Christian était prêt à commencer.

Le premier match arriva. On appela son nom, ainsi que celui de son adversaire. Top, c’est parti. Les premiers points sont très serrés. Allez, plus qu’un volant gagné et c’est terminé pour l’adversaire. Hop, premier match gagné. Christian est soulagé, il va pouvoir se reposer pendant quarante minutes pour son second match. A ce moment-là, Christian est déterminé à remporter cette compétition nationale, et la coup qui va avec. Les matchs s’enfilèrent, il les gagna tous, et arriva en demi-finale. Soudain, au début du match, c’est le drame. Christian, tombe mal sur ses appuis, et se foule la cheville. Aie aie aie, il n’avait surement pas assez bu pendant les pauses pour récupérer. C’est l’entorse assuré. Il hurle de douleur, le match est interrompu. Le médecin arriva sur place pour examiner la jambe de Christian. C’est bel et bien une entorse. Le médecin est formel, il faut arrêter le match en cours. Et pour cela, aucun autre moyen à part de se disqualifier, sauf si Christian veut empirer son cas. Quel dommage d’en arriver là. Une compétition qu’il attendait depuis très longtemps, et pour laquelle il s’était entrainé dur pour arriver au bout, et voilà qu’à la première rencontre de la compétition, il doit se disqualifier et déclarer forfait.

Coup dur pour Christian, qui ne comptait surtout pas sur cet aléa de la compétition pour continuer. Il fut conduit à l’hôpital. Sur place, on lui posa une attelle. Le médecin de l’hôpital lui annonça qu’il en avait pour 2 mois, sachant que les championnats nationaux sont dans trois mois… Quelle contradiction,   il va devoir y aller doucement pour ne pas se reblesser, et pouvoir rejouer le plus tôt possible. Christian redoute une baisse de niveau qui pourrait l’éliminer de la compétition dès le premier match en championnat. Heureusement pour lui, Frédéric était là pour le soutenir moralement.

Très rapidement, il reçu des messages et des mails de ses élèves, lui souhaitant du courage, et qu’il se rétablisse au plus vite ! Quel geste d’attention de la part des élèves. Christian est ému, il n’en revient pas. Les élèves sont avec lui, et l’encourage pour sa compétition. Cet élan lui redonne confiance, et de la conviction. Deux mois plus tard, Christian était guéri. Il est retourné au lycée en tant qu’enseignant, remercié ses élèves qu’il n’avait pas vu depuis longtemps. Il leur affirma qu’il allait gagner la compétition nationale pour lui, et pour ses élèves qui l’ont soutenu.

Cette fois-ci, Christian était vraiment prêt. Pas d’entorse à l’horizon, on s’échauffe bien les chevilles, et on se lance. En plus, Frédéric est venu faire le déplacement pour l’encourager. Premier match, pas très serré, Christian l’emporta facilement. Le second adversaire, un peu plus coriace, fini par être vaincu. Le troisième également, ainsi que le quatrième. La phase de poule étant passé, Christian est qualifié pour les huitièmes de finale. La tension monte de plus en plus, et Christian est toujours au top, et en meilleure forme qu’auparavant, et surtout, il boit beaucoup, pour éviter les crampes et les entorses. Le huitième de finale se déroula tranquillement, en bonne ambiance malgré le titre en jeu. Le fair-play est au rendez-vous, et les joueurs aiment ça. Christian gagna son duel. Egalement pour le quart de finale, qu’il emporta haut la main, ainsi que la demi-finale.

La finale arrivait, la tension était palpable. Mais la fin de la compétition, c’est Christian Dacunha qui va vous la raconter :

« C’était le dernier match, j’étais prêt à battre l’adversaire. Y avait pas de tension ou quoi que ce soit parce que c’est pas l’esprit que j’ai envie d’adhérer dans une compétition. Au contraire même si l’enjeu était de taille je fais ça aussi pour le loisir, comme mon ami Fred qui ne fait pas de compétition. Du coup le match était très serré, je pensais pas y arriver au début, puis j’ai trouvé son point faible en quelque sorte, il ne se replaçait pas assez vite. Il fallait le faire courir sur le terrain pour prendre des points. C’est ce qui m’a permis de gagner le match et le tournoi national. Je suis passé donc de R4 à N3, j’ai eu le titre de champion de France, rien que ça. Probablement une des compétitions les plus belles de ma « carrière » en quelque sorte. »

8 avril 2018

Quelques chiffres

En France, les jeunes ne font pas assez de sport. C’est ce que nous constatons lorsque l’on interroge les jeunes sur leurs pratiques physiques et/ou sportives. Désormais, l’attention des jeunes est basée sur les tablettes, smartphone et autres appareils numériques. Les jeunes se sociabilisent sur les réseaux sociaux. C’est donc une génération numérique qui se développe et non plus une jeunesse active.

Malgré cela, 14 millions de français sont licenciés pour 170000 associations sportives ou clubs, ce qui n'est pas négligeable dans la part de la population française qui est d'environ environ 70 millions, ce qui fait environ 20% de la population française qui est licencié dans 170000 associations ou clubs sportifs, ce qui fait environ 2,8 associations pour 1000 habitants en France. De plus il y a plus de français qui pratiquent une activité physique non déclarée, c'est à dire hors club ou association sportive, pour le loisir en quelque sorte.

Néanmoins, malgré les stéréotypes sur les jeunes, qualifiés de "patates de canapé" ou de feignants, 94% des 15-29 ans ont au moins une activité physique et sportive déclarée, ce qui démonte les arguments des plus "anciens" sur la feignantise des jeunes.

Si on regarde l'activité physique principale des jeunes, on observe que leur activité physique principale, classé de la plus à la moins importante : la marche (randonnée, trek...), la natation, le football, le vélo, le footing (course, marathon...) et la musculation.

J'ai effectué un sondage sur les étudiants de la classe de BTSA GPN1 sur leur activité physique principale de chacun. Le camembert ci-dessous montre les résultats du sondage :

On observe que 51% des étudiants font principalement une activité liée à la marche ou au footing, 13% font de l'équitation, 12% font du tennis, 10% de la musculation et 14% font une autre activité.

Les jeunes, grâce aux clubs et associations sportives, peuvent participer à des compétitions, que ce soit amical ou non, certains jeunes deviennent très bons et ont des portes qui s'ouvrent pour eux, le monde du professionnel. 24% des sportifs de haut niveau sont des jeunes de 15-29 ans.

 

En somme, les jeunes ont l'air de pratiquer des activités physiques régulièrement. Les stéréotypes peuvent donc être remis en question, malgré les études qui montrent que les jeunes ne font plus du sport comme avant, et que leur pratique d'activité physique est en déclin.

20 mars 2018

Editorial

En France, les jeunes ne font pas assez de sport. C’est ce que nous constatons lorsque l’on interroge les jeunes sur leurs pratiques physiques et/ou sportives. Désormais, l’attention des jeunes est basée sur les tablettes, smartphone et autres appareils numériques. Les jeunes se sociabilisent sur les réseaux sociaux. C’est donc une génération numérique qui se développe et non plus une jeunesse active.

Le sport. Un très grand mot pour les jeunes d’aujourd’hui, qualifiés par les anciennes générations de feignants, ou le célèbre « patate de canapé » que certains connaissent… Aujourd’hui, les établissements scolaires, à partir du collège, proposent des séances de sport en dehors des heures de cours, les associations sportives. Elles sont proposées dans le but de faire découvrir aux jeunes l’univers du sport. L'organisation est différente suivant les établissements.

Les chiffres sont alarmants, en 40 ans la capacité physique des jeunes de 9-16 ans ont chutés de 25%. Les jeunes courent moins vite et moins longtemps. Une jeunesse qui ne cesse de se sédentariser.

La question que l’on se pose est : Le sport est-il le propre de la jeunesse d’aujourd’hui ?

Image associée

logo de l'UNSS

 

Le manque d’activité n’est pas seulement dû aux nouvelles technologies mais parfois au manque de motivation, aux choix que font les jeunes par rapport à leurs études, aux moyens de transport qui leurs permettent de se déplacer sans trop d’efforts, la classe sociale, la motivation et à l’accès aux activités notamment dans les grandes villes où l’activité physique est limitée par l’urbanisme. C’est pour lutter contre cela que les établissements scolaires ont mis en place les associations sportives, qui permettent de ne pas dire que les jeunes ne font plus de sport. Ce dispositif a-t-il un réel impact sur ces derniers ?

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Gymnase du lycée d'Aix-Valabre

 

Les jeunes ne font plus du sport en tant que loisirs, c’est-à-dire, lorsque qu’ils en ont envie mais plutôt sur des horaires aménagées, cela ne devient plus un loisir mais un engagement. Nous pouvons ajouter à cela l’esprit de compétitivité qui servirait de moteur à leur motivation ou encore un exutoire. Le culte du corps se démocratise, avec l’aide des réseaux sociaux, qui prônent à la fois l'influence et la motivation des jeunes sur certains sports. D’autres voient les sports imposés par leur entourage, les parents voient en leurs enfants et souhaitent qu’ils deviennent le meilleur dans un sport qui ne lui aurait pas forcément plu s’il avait eu le choix. Les rencontres sportives permettent de faire du sport en tant que loisir, car facultatif, mais aussi de manière encadrée, car horaires de rencontres etc…

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